Spectacles
Lettre d’une amoureuse morte
de Nathalie Rheims
mise en scène : Marie Tikova
avec Alexandrine Serre
et Ingrid Schoenlaub violoncelle
Contact :
Cie FEUX DE LA RAMPE – Marie Tikova
feuxdelarampe@hotmail.fr
tél : +33 6 81 10 21 14
Le propos
« Tout était si simple avant toi, je suis morte de cet amour …. »
Une femme a aimé un homme , passionnément !
L’homme l’a quitté … quoi de plus banal !
Mais voilà, la douleur de la rupture fait rage et s’insinue peu à
peu dans le corps de la femme qui bascule hors du temps dans
un espace clos .
Il n’y a plus de jours, il n’y a plus de nuits, seulement cette
absence, ce vide, ce manque impossible à combler….
Et son coeur a volé en éclats !
L’écriture de Nathalie Rheims dit dans une folie poétique ce
désespoir et cette douleur. C’est beau comme un chant, comme
un cri venu du plus profond de soi même !
Qui n’a pas un jour vécu une rupture amoureuse ?
Qui un jour n’a pas senti la terre s’effondrer sous ses pieds,
juste pour une histoire d’amour ?
Mettre des mots sur l’intimité de ce moment là, c’est peut être
déjà sentir qu’on est vivant !
C’est aussi la vie avec ses joies et ses peines,
ses blessures et ses renaissances !
Le projet
Dans la pénombre …. Une voix chuchote :
« Tout était si simple avant toi, je suis morte de cet amour»…
Ainsi commence le récit d’une passion , qui va se décliner sans
ordre chronologique, se dire au fil des états sans cesse autres et
toujours mouvants.
Les jours et les nuits se succèdent et le temps n’a plus cours !
La douleur se mêle aux souvenirs.
Les souvenirs sont joie ou douleur, rires ou pleurs.
Avec une comédienne et une musicienne réunies pour ce projet,
il s’agit de construire un dialogue entre texte et musique, un va
et vient permanent de l’un à l’autre.
Inscrire le corps de l’actrice dans un espace restreint semblable
à un papillon pris au piège de la lumière, et envisager le
violoncelle comme acteur à part entière !
Mais aussi envisager la musique en osmose avec le texte,
ou bien la musique s’exprimant seule pour dire un moment
d’intimité…..
Ou encore, silence de la musique pour laisser place au texte ….
Tricotage entre musique et texte afin de construire le spectacle à
partir de ce duo, entre complicité, rivalité, indifférence ou
fusion, et scruter l’intime jusqu’au vertige .
Entre rêve et cauchemar, dérouler l’écheveau de l’état
amoureux et de son de insondable mystère .