Revue de presse


La presse en parle

Festival Présences 2017, Radio-France, Paris

Parajo contra el borde de la noche de Luis Nahon, pour violoncelle solo, ensemble et électronique. Création mondiale.

« Le violoncelle – impériale Ingrid Schoenlaub – et ses interventions  périodiques sont le fil d’Ariane de cette trajectoire labyrinthique, ménageant des espaces plus intimistes voire introspectifs au sein d’une odyssée sonore aventureuse autant que poétique. »

ResMusica (Michèle Tosi)


Les soirées étonnantes de Chaillol

« […] en témoigne l’exceptionnel concert du samedi 31 juillet – le deuxième de l’intégrale Ravel -, d’une qualité musicale qu’on n’aurait pas imaginé rencontrer en un lieu aussi improbable que celui de l’église Saint-Michel de Chaillol, murs et sols défraîchis mais acoustique de rêve.
Olivia Hughes au violon, Ingrid Schoenlaub au violoncelle et le pianiste Laurent Wagschal y ont donné une version magistrale du fameux Trio ravélien, ardente, sensible, raffinée – un moment de grâce. »

Le Monde


Festival Electr()cution 2019, Brest

Trace IX de Martin Matalon, pour violoncelle et électronique.

« La Trace IX intègre dans la partie électronique quelques sons aquatiques plutôt rares dans l’ensemble des Traces. Le champ d’action sur le violoncelle s’est élargi et diversifié. Ingrid Schoenlaub en détaille l’écriture avec un engagement de tous les instants. »

ResMusica (Michèle Tosi)


Soirée de rencontres magiques

« Amanda Favier au violon, Cécile Grenier à l’alto et Ingrid Schoenlaub au violoncelle ont offert un concert exceptionnel sous la voûte magique de l’église Saint-Jean d’Aubeterre. Talent, virtuosité, amicale complicité, les trois jeunes femmes ont conquis le public. »

Charente Libre


VIOLONCelleS

Seule-en-scène / Musique, poésie, théâtre…

« On est très vite fasciné par l’enchaînement fluide du Lièvre et la Tortue avec la Récitation pour violoncelle de Georges Aperghis. […] Le conte de Bernard Friot est emblématique de l’ensemble du concert : en « habillant » son instrument comme la sorcière du récit, Ingrid Schoenlaub humanise son violoncelle, ce qui crée une relation très touchante entre l’interprète, l’instrument et le public. Le concert se conclut sur la Sonate de Ligeti. On apprécie la justesse de  l’interprétation et les contrastes proposés, qui nous font poser un nouveau regard sur cette oeuvre. Ainsi, c’est, plus qu’un concert, un véritable spectacle mêlant de nombreuses disciplines artistiques et centré sur l’humanisation de l’instrument que nous offre Ingrid Schoenlaub. »

Noémie Bruère (ComposHer)


« Merveilleuse violoncelliste et actrice, Ingrid Schoenlaub avec beaucoup de cordes à son arc ! Tout un monde de sensibilité et d’audace! »

Claire Gibault (Directrice du Paris Mozart Orchestra) sur Twitter.


Les Fables Amoureuses

de Jean de La Fontaine
Mise en scène : Marie Tikova
Avec Ingrid Schoenlaub et Anthony Roullier

« Quatorze fables de Jean de La fontaine ont été retenues par Marie Tikova parce qu’elles parlent des joies et des tourments de l’amour […] Par-dessus tout, la présence du violoncelle joué par la comédienne Ingrid Schoenlaub s’impose comme un contrepoint au texte et lui donne rythme et respiration. Un spectacle qui donne envie de relire toutes les fables. »

Télérama ( Nathalie Kuperman)


« Ingrid Schoenlaub, musicienne et comédienne, se taille la part du lion. Elle joue et se joue de son instrument, qui donne sa couleur à chaque scène, avec une virtuosité remarquable tout en jouant la comédie. Gracieuse, très expressive, la voix bien timbrée, elle prend à son compte les mots de l’auteur pour se les approprier et les rendre éminemment vivants. »

Froggy’s delight ( M.M)


« La version que nous offre Marie Tikova touche les enfants déniaisés que nous sommes devenus [….] Ingrid Schœnlaub n’accompagne pas de son violoncelle la déclamation de ces fables pour adultes : elle lutte avec, dans un jeu léger, énergique. Elle transperce littéralement l’espace et donne rythme et silence au temps. »

Les Trois Coups (Olivier Pradel)


Quatuor Psophos
(2002-2006)

Ayako Tanaka, Bleuenn Le Maître violons, Cécile Grassi alto, Ingrid Schoenlaub violoncelle

Lisbonne perd la tête pour la fête

L’un des événements de la « Festa » fut sans doute le concert de clôture qui regroupa, autour de l’Octuor en mi bémol majeur de Mendelssohn, le quatuor Psophos et le quatuor Lindsay à son meilleur niveau. Ce-dernier a « passé le flambeau » à Psophos, quatuor féminin en pleine ascension.

Presse Océan


Printemps des Arts de Monaco : Le marathon Mozart

« La surprise vint du quatuor Psophos. Ce que ces jeunes femmes nous firent entendre fut si fin, délicat, tendre que cela se situa aux limites du réel. Quatre jeunes femmes entrent en scène, quatre anges passent, la musique de Mozart s’ouvre sur le paradis! »

Nice Matin


Concert au Concertgebouw d’Amsterdam

« They impressed with a well balanced and reliable sound – the Psophos Quartet does have great possibilities. La Malinconia in Beethovens opus 18 N°6 sounded remarkably adult, warmblooded and sincere. »

The national paper Telegraaf Amsterdam


Brillant Psophos Quartett beim Orlando-Konzert

« Das Ereignis des zweiten Orlando-Konzertes war die Begegnung mit dem Psophos-Quartett. Was die vier jungen Damen zu bieten hatten, lässt die zahlreichen errungenen Preise verständlich erscheinen. Sie wagten sich an nichts Geringeres als an Beethovens Streichquartett in a-moll op. 132. Die Souveränität, mit der sie das sperrige Werk Beethovens nicht nur spieltechnisch, sondern auch gestalterisch meisterten, wie sie die emotionalen Tiefen des Adagio-« Dankgesangs » mit subtilster Differenzierungskunst auslockten, der Schwung, mit dem sie das Finale angingen und zum Presto-Jubel steigerten, das alles war Quartettkunst auf sehr hohem Niveau. Einen solchen Stoff bewältigt zu haben, ist so etwas wie ein Meisterbrief. »

Aachener Zeitung